Outre la forte redistribution sociale, dont l’impact sur l’économie domestique peut être discuté, celle-ci connaît des goulots d’étranglement importants, qui en ralentissent la croissance : autour des années 2005, l’Afrique du Sud a connu des taux de croissance oscillant entre 3% et 5%, plus faibles que la moyenne des pays émergents.